La directrice des affaires étudiantes et des communications au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue, Kathleen Slobodian, est préoccupée par l’insécurité alimentaire des étudiants qui doivent prendre des décisions difficiles. On a une population qui est variée au Cégep, donc parfois, des mamans monoparentales qui sont de retour aux études, des couples de jeunes étudiants aussi avec des enfants qui sont de retour aux études. Ça peut être plus difficile d’avoir la capacité de faire des épiceries « bien garnies », décrit-elle.

Le Centre de services scolaire (CSS) Harricana fait marche arrière au sujet des toilettes mixtes au pavillon La Calypso de l’École secondaire d’Amos. L’automne dernier, des parents et des élèves avaient lancé une pétition contre l’ouverture d’un bloc sanitaire non genré.

De jeunes Québécois flambent des milliers de dollars pour s’offrir des « coffres à butin », des boîtes virtuelles dont ils ignorent le contenu, mais qui pourraient leur rapporter gros, espèrent-ils. Cette pratique s’apparente en tout point aux jeux de hasard, mais elle échappe à toute réglementation en la matière.

Dans le cadre de son engagement à soutenir la réussite académique et le bien-être de ses étudiantes et étudiants, le Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue a annoncé l’acquisition d’un immeuble, anciennement l’évêché, situé au 515, avenue Cuddihy.

Le gouvernement australien a récemment adopté une loi interdisant les médias sociaux aux moins de 16 ans. Le premier ministre Anthony Albanese a salué cette mesure « qui fait porter aux plates-formes de médias sociaux — et non aux jeunes ou à leurs parents »– la responsabilité de protéger la jeunesse contre les dangers en ligne.

L’École secondaire d’Amos se donne les outils pour lutter contre le vapotage et le tabagisme. Des membres du personnel et des élèves sont engagés dans un Plan génération sans fumée avec le Conseil québécois sur le tabac et la santé.

Les adolescents québécois affichent un inconfort de plus en plus grand face à la diversité sexuelle, selon une nouvelle étude. Réseaux sociaux, montée des discours masculinistes et conservateurs : comment expliquer ce recul « plus que préoccupant » ?

Les jeunes de 16 à 25 ans sont visés par une trousse pédagogique dans le but de renforcer leur littératie alimentaire. L’un des objectifs est d’outiller les jeunes adultes à développer une forme d’autonomie, mais aussi une sécurité alimentaire.

Le projet est présenté à tous les élèves de secondaire 3 des écoles secondaires La Source et D’Iberville de Rouyn-Noranda. Différents partenaires tels que les travailleurs de rue, le CISSSAT/ Santé publique, la Sûreté du Québec, Liaison Justice, la Maison de Jeunes sont sur place. Ces derniers exposent l’histoire audio d’un groupe de jeunes qui font la fête et sont amenés à prendre les mauvaises décisions occasionnant des conséquences à plusieurs niveaux.

Des adolescents en Abitibi Ouest reçoivent ces jours-ci une formation pour intervenir en situation de surdose. La travailleuse de rue pour le Groupe IO, Catherine Daigle se déplace dans les classes avec une inhalothérapeute.

En 2022-2023, environ la moitié (51 %) des élèves du secondaire ont travaillé durant l’année scolaire, et les filles sont proportionnellement plus nombreuses (53 %) que les garçons (48 %) à l’avoir fait. Entre 2010-2011 et 2022-2023, il y a eu une augmentation significative des troubles mentaux confirmés par un professionnel ou une professionnelle de la santé chez les jeunes du secondaire au Québec. Moins de jeunes consomment de drogues, d’alcool, de cigarettes, de boissons sucrées et de malbouffe en 2022-2023.

Une clinique montréalaise qui soigne des adultes de 18 à 35 ans ayant fait une première psychose a vu le nombre de ses nouveaux usagers pratiquement doubler en 8 ans. Davantage de patients qui y sont admis sont désormais en situation d’itinérance, et plusieurs d’entre eux sont très malades, souligne la Dre Amal Abdel-Baki, qui est la cheffe médicale du centre.

Entre 2010-2011 et 2022-2023, il y a eu une augmentation significative des troubles mentaux confirmés par un professionnel ou une professionnelle de la santé chez les jeunes du secondaire au Québec. Moins de jeunes consomment de drogues, d’alcool, de cigarettes, de boissons sucrées et de malbouffe en 2022-2023.

Plus d’un adolescent sur cinq prend des psychostimulants au Québec pour traiter un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), un ratio record qui le place très loin devant les autres provinces, révèle un récent rapport.

Le Fonds d’aide Lucien-Cliche lance la 25e édition de sa Campagne des boules de Noël, qui vise à s’attaquer à la précarité financière des étudiants de Val-d’Or.

Comparativement à leurs pairs cisgenres hétérosexuels, les jeunes aux deux esprits (bispirituels), lesbiennes, gais, bisexuels, transgenres et queers ainsi que ceux qui emploient d’autres termes relatifs à la diversité sexuelle ou de genre (2ELGBTQ+) courent un risque plus élevé d’avoir des problèmes de santé mentale et des tendances suicidaires.

Des parents qui réclament la fermeture de blocs sanitaires mixtes au pavillon La Calypso de l’école secondaire d’Amos ont lancé une pétition sur Internet lundi.Description ou résumé de l’article

Le vote de la génération Z est l’une des raisons principales de l’élection de Donald Trump. Ce virage à droite s’observe également au Canada où les valeurs conservatrices gagnent du terrain chez les moins de 30 ans.

Cette synthèse des connaissances identifie les caractéristiques de l’usage des écrans chez les jeunes de 12 à 17 ans, par exemple le type d’appareil ou le contexte d’usage, qui sont liées aux symptômes de troubles mentaux courants (symptômes dépressifs ou anxieux) ou à la détresse psychologique, ainsi qu’aux dimensions de la santé mentale (bien-être émotionnel, psychologique et social).

Les centres d’éducation des adultes offrent aux personnes âgées de 16 ans et plus qui n’ont pas terminé leurs études secondaires, la possibilité de reprendre leur scolarité et d’obtenir un diplôme. En plus d’expériences négatives sur le plan scolaire, ces jeunes ont souvent vécu des situations difficiles dans leur parcours de vie sur le plan personnel, familial ou social, qui sont des facteurs favorisant la consommation de substances psychoactives.

Instagram lance des comptes distincts pour adolescents de moins de 18 ans, dans le but de rendre la plateforme plus sécuritaire pour les enfants, alors que les réseaux sociaux sont souvent critiqués pour leur influence sur la vie des jeunes.

Une école secondaire de Sherbrooke conseille aux jeunes de « changer d’apparence » et de faire attention à leur hygiène corporelle pour faire cesser l’intimidation dont ils seraient victimes.

La violence chez les jeunes est préoccupante en raison de sa prévalence et des nombreuses conséquences qu’elle peut occasionner sur leur santé.

La violence chez les jeunes semble faire de plus en plus souvent la manchette et le ministre de l’Éducation du Québec, Bernard Drainville, multiplie les mesures depuis quelques mois pour combattre ce phénomène.

La Vitrine statistique sur les jeunes de 15 à 29 ans présente des informations statistiques permettant de mieux connaître la situation des jeunes du Québec de 15 à 29 ans…

La puissance croissante en THC des produits du cannabis se traduit par une hausse des hospitalisations au Canada depuis quelques années chez les moins de 25 ans. Des médecins québécois tirent la sonnette d’alarme.

La Maison des jeunes Liaison 12-18 de Témiscaming reçoit une aide de 300 000 $ de Québec.

Quels gestes de violence subissent les jeunes du secondaire pratiquant un sport organisé au Québec? Qui sont les personnes qui les commettent?

Qu’est-ce que ça signifie aujourd’hui ? Des jeunes témoignent, des experts se prononcent. Un constat s’impose : malgré une plus grande diversité de modèles, les stéréotypes traditionnels perdurent. Et le sentier qui mène à la masculinité demeure étroit. Découvrez nos articles.

Les enseignants sont aux premières loges pour constater l’augmentation du taux d’absentéisme en classe.

Le directeur adjoint à la Direction du programme jeunesse, Tommy Guillemette, assure que les services offerts à l’Aire ouverte de Val-d’Or sont adéquats même s’il n’y a pas de psychologue en poste.

Au début d’avril, près de 10 % des jeunes de la province n’étaient pas sur les bancs d’école, un pourcentage presque aussi élevé qu’en pleine pandémie.

Lorsque vient le temps de parler de consommation d’alcool avec leur adolescent ou leur adolescente, bien des parents ne savent trop sur quel pied danser.

La présence d’écrans dans la chambre des adolescents a un impact négatif sur leur réussite scolaire et leurs relations sociales, selon une étude publiée par des chercheurs de l’Université de Montréal (UdeM).

L’Abitibi-Témiscamingue participe à la 13e Semaine des régions de l’organisme provincial Place aux jeunes.

La Maison des jeunes du Témiscamingue (MDJT) dans le secteur de Lorrainville a inauguré jeudi soir ses locaux fraîchement rénovés

Malgré une hausse des coûts, l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) va de l’avant avec la construction de son lieu extérieur d’enseignement, de partage et de réconciliation à son campus de Val-d’Or.

Le passage à l’âge adulte constitue une période critique pour la consommation de substances psychoactives (SPA), notamment en raison de l’accès légal à l’alcool, au tabac et aux produits de vapotage à 18 ans, et aux produits du cannabis à 21 ans.

Les journées sans cours qui se multiplient en raison de la grève du personnel du milieu de l’éducation inquiètent des parents d’élèves qui ont des difficultés d’apprentissage.

C’est devenu un lieu commun que de le dire: la désinformation contamine notre vie numérique. Et cela touche tout particulièrement les jeunes générations, qui passent de nombreuses heures par jour sur les réseaux sociaux.